La réunion de famille crée du chaos, de la parenté et des frissons

Il y a quelques mois, un de mes cousins ​​du Midwest a envoyé un e-mail à la famille élargie. « J'emmène mon mari et mon enfant dans l'Est – qui est prêt à se réunir ?! »

Il y a eu une série de oui, donc il était prévu que nous nous réunissions ici à Lancaster début juillet.

La première moitié de la semaine de mon cousin dans l'Est s'est déroulée en Virginie, chez un autre cousin qui ne pouvait pas se rendre à la réunion de Lancaster.

Pendant qu'ils étaient en visite là-bas, je me précipitais ici pour nettoyer la maison de fond en comble. Nous n'accueillons pas très souvent des invités pour la nuit, c'est donc un gros problème lorsque nous le faisons.

En plus du nettoyage et de la préparation des chambres d'amis, j'avais quelques réaménagements à faire en bas pour accueillir les quelques dizaines de personnes qui seraient là pour le brunch samedi matin.

J'ai sorti la chaise confortable du coin cuisine et installé un poste de boisson : une cafetière, une carafe d'eau et de nombreuses tasses et tasses. Une glacière a été placée au sol à proximité pour le thé des prés, le jus d'orange et le café glacé.

Il y avait de la nourriture pour la réunion et les invités qui passaient la nuit à nourrir pendant deux jours. J'avais un plan de repas et des ingrédients prêts à emporter et j'ai préparé des bagels à conserver au congélateur. Pas trop compliqué.

Le mercredi soir est arrivé et nos invités aussi. Comme c'était bon de revoir ma cousine et de rencontrer enfin son mari et son petit garçon !

Nous pensions que cela faisait environ neuf ans que nous ne nous étions pas vus, donc il y avait beaucoup de rattrapage à faire.

J'ai déjà organisé quelques-unes de ces réunions auparavant et être l'hôtesse signifie que vous n'avez pas beaucoup de temps pour vous asseoir et discuter avec une seule personne. Ces deux jours qui ont précédé les retrouvailles ont été l'occasion pour nous, cousins, de faire réellement connaissance.

L'introvertie en moi craignait un peu de me lasser d'avoir des invités pendant quelques jours d'affilée, mais c'était tout simplement merveilleux de passer du temps avec sa petite famille.

Nous avons nagé dans l'étang, pris nos repas aussi tranquillement qu'un enfant en bas âge le permet et rendu visite aux animaux de la ferme. Les garçons ont même emmené le petit gars faire un tour en tondeuse. (Ne vous inquiétez pas, aucune lame n'a été impliquée).

Le vendredi après-midi, il y avait du travail à faire pour préparer le brunch du lendemain. Nous avons fait un peu de ménage, j'ai nourri le levain pour les gaufres et j'ai mélangé des boissons pour le repas du soir.

En milieu d'après-midi, nous nous sommes rendus chez mon frère, qui accueillait le début des retrouvailles. Les enfants ont nagé dans la piscine et tout le monde s'est embrassé et a ri alors que des gens d'ici et d'ailleurs arrivaient. Nous avons grignoté et discuté jusqu'à l'heure du dîner.

En plus de passer du temps en famille, mon moment préféré de la soirée était de chanter la bénédiction avant notre repas. La maison de mon frère a de très hauts plafonds et l'harmonie en quatre parties de « Je remercie le Seigneur, mon Créateur » était digne de la chair de poule.

Des jeux dans la cour, davantage de natation et beaucoup de discussions nous ont menés jusqu'à l'heure du coucher. Tout le monde s'est séparé dans ses maisons respectives – tous les habitants ont hébergé au moins une famille.

J'ai fait une petite préparation de gaufres de dernière minute, un cousin de Virginie m'a fait la vaisselle – et puis nous avons dormi.

Je me suis réveillé tôt le lendemain matin et j'ai terminé la préparation du brunch. La façon dont nous préparons habituellement ce repas est que l'hôte nourrit les gens à mesure qu'ils arrivent de leurs différents emplacements.

Cela fonctionnait bien... jusqu'à ce que ce ne soit plus le cas. Vers 9 heures, la cafetière a commencé à fonctionner. Nous avons une machine Jura à une tasse et elle ferait une demi-tasse avant d'arrêter.

Ensuite, la batterie de secours de ma machine à quilter a commencé à émettre un bip. Ah ah ! Le pouvoir était faible. Le gaufrier a lâché et finalement le courant s'est complètement arrêté et nous n'avions plus d'eau.

Un cousin s'est précipité vers des seaux et les a remplis à la pompe manuelle pour que nous puissions au moins tirer la chasse d'eau des toilettes.

Les gens qui arrivaient se sont plongés dans la quiche, le yaourt et le granola car il n'y avait pas de gaufres. Et nous avons rapidement dévoré le petit peu de café glacé dans le frigo.

À peu près au moment où mon mari a branché le générateur, notre électricien a découvert que le disjoncteur principal était grillé. Heureusement, il ne lui fallut pas longtemps pour réparer et bientôt le gaufrier et Jura furent de nouveau en action.